Je ne pensais pas écrire ça un jour, mais oui : une sneaker peut envoyer un teep kick à tes sens. La Puma Mostro Crafted Aries, alias le modèle “Mahogany Teak”, ne se contente pas de marcher dans les traces du passé : elle les frappe avec la grâce d’un nak muay en pleine démonstration de clinch.
Le 15 juin 2025, une Nike Mag Back to the Future dotée de la technologie de laçage automatique sera adjugée au plus offrant. Mise à prix ? 50 000 dollars. Et ce n’est qu’un début. À ce tarif, on peut s’offrir une Tesla flambant neuve, un tour du monde en classe affaires, ou… une sneaker.
Il fut un temps où accumuler les paires était presque un rite de passage pour tout sneakerhead qui se respecte. Plus t’en avais, plus t’étais légitime. Une chambre transformée en stockroom, des boîtes jusqu’au plafond, et ce moment de doute chaque matin : “Je mets quoi aujourd’hui ?”
Vous pensiez que l’imprimé léopard avait dit son dernier mot ? Faux départ. En 2025, il revient plus fort que jamais, et pas là où on l’attendait.
Les beaux jours appellent à sortir du rang. Et si t’as l’œil affûté, impossible de passer à côté de cette adidas Handball Spezial Solar Yellow White. Du pistache, du fluo, du blanc éclatant… la palette pique un peu les rétines, c’est vrai.
Le passé a parfois meilleur goût quand on le revisite avec justesse. Et la Nike SB Zoom Air P-Rod 1 White Black le prouve sans forcer.
J’y ai cru. Franchement. Quand Nike a ressorti la Nike Air Zoom Spiridon OG fin 2024, j’ai eu un petit frisson. Pas de hype TikTok, pas de bot en embuscade. Juste une bonne vieille running de 1997, signée Steven Smith, dans sa robe Sport Red ultra fidèle à l’originale.
Un croquis. C’est tout ce qu’on avait depuis 1995. Un simple dessin griffonné par Sergio Lozano, le papa de la Air Max 95. Ce fameux sketch montrait une version inversée de la Neon : un dégradé du clair vers le foncé.
En 2025, la Nike SB Paul Rodriguez alias P-Rod 1 souffle ses vingt bougies. Une occasion idéale pour revenir sur une sneaker à la trajectoire singulière : saluée par les puristes, parfois ignorée par la hype mainstream, mais jamais vraiment oubliée.
Le sleeper des archives qu’on n’avait pas vu venir. Pourquoi parler de la New Balance 475 aujourd’hui ? Parce depuis son retour en 2024, elle fait un flop et c’est précisément ce qui en fait une perle rare. Les collaborations avec Auralee ou Aimé Leon Dore n’y font rien.
Après l’exubérance du coloris Bright Cactus sur la Jumpman Jack, Travis Scott revient poser une autre pierre à son édifice footwear. Avec une palette plus feutrée, plus introspective.
Pendant longtemps, le resell de sneakers, c’était un peu comme le Far West. Un monde sauvage, grisant, où le premier qui dégainait son bot raflait tout.
Tu as sûrement déjà vu passer ces paires New Balance toutes de gris vêtues, élégantes comme un blazer bien taillé. Peut-être même que tu en portes une pendant que tu lis ces lignes. Mais sais-tu vraiment ce que représente le Grey Day ?
Il fallait s’y attendre. Après la Jordan 3 Rare Air et son Nike Air retourné, Jordan Brand continue d’explorer le bestseller de 1988 en mode édition spéciale.
En avril 2024, certains chanceux ont vu tomber une surprise aussi douce qu’un stroopwafel : un shock drop de la Nike Air Max 1 King’s Day, pile pour le Koningsdag. Pas d’annonce, pas de teasing.
La performance qui veut parler lifestyle. Il y a des noms qu’on ne voit pas venir, et qui claquent comme un éclair dans un ciel dégagé. Goukana. Derrière ce mot doux d’origine japonaise, qui signifie « luxueux et moelleux », se cache la dernière expérimentation d’Adidas Originals.
Une réédition qui fait des étincelles (mais pas pour les bonnes raisons). Il y a des drops qui électrisent la communauté.
On croit avoir tout vu en matière de customs. Puis débarque la Nike Air Max 1 MF Doom signée Matthieu Hoekstra, et là, on comprend que le sneaker game a encore des hits sous le masque.
Entre nostalgie et relecture vintage, le match est lancé. Le drop de la Air Jordan 1 UNC Reimagined en 2025 a réveillé les souvenirs des puristes. Normal : avec son effet vieilli, sa palette rétro et sa boîte façon AJKO, elle cligne de l’œil à l’ère des OG de 1985. Une madeleine de Proust… revisitée.
Pourquoi la collection Mambacita mérite-t-elle un dossier complet ? Parce qu’on ne parle pas seulement de sneakers ici. On parle d’hommage, de mémoire, de résilience. La ligne Nike Kobe Mambacita, née dans la douleur et le respect, dépasse le simple cadre de la performance ou du style.
